1. |
Intro
00:44
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2. |
L'Ampleur Du Vide
04:10
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Saisissez l’envie, tombons dans ce vide qui rend fou
N’attendons pas de voir ce que la vie fera de nous
Crachez vos incertitudes et ravalez ces belles paroles
Le temps passe et nous vole
Les souvenirs dispersés nous défigurent
Nos mains qui s’accrochent, les rendent encore plus durs
Cette nuit est notre place sombre
Tous les ponts tombent encore à terre
Le vide devient l'allié de nos ombres
Cette nuit est notre place sombre
Noyons le monstre
Il faut fuir ces râles amers
Quelque soit le prix pour tes mains, montre
Les traces de nos doigts ouverts
Quelque soit le prix pour garder tes mains : Montre ! Montre !
Les traces de nos doigts ouverts
Le temps passe et nous vole
Les souvenirs dispersés nous défigurent
Nos mains qui s’accrochent, les rendent encore plus durs
Cette nuit est notre place sombre
Tous les ponts tombent encore à terre
Le vide devient l'allié de nos ombres
Cette nuit est notre place sombre
Il ne sont que des rois dans nos propres esprits
Dans mon propre esprit
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3. |
Portrait
03:50
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Sombres délires d’un miroir sali par la haine
Il n’y a pas d’heure pour introduire sa peine
On peut essayer de baisser les yeux
De s’en crever l’œil pour ne plus être deux
Deux
Sombres délires d’un miroir sali par la peine
Il n’y a pas d’heure pour introduire sa haine
On peut essayer de baisser les yeux
De s’en crever l’œil
Le portrait d’un homme par un autre ne vaut rien
Seule l’ironie nous dessine et elle le fait si bien
Elle remplit le vide qui fait mal
Sans effacer les parties les plus sales
Des images me reviennent et se posent
S’agrippant à la toile écorchée qui implose, qui implose
Recouvrant le sol de marques névrosées
S’écoulant sans un bruit comme le sang fuit la plaie
Des images vont revenir gorger la surface
Face à mes yeux, face à mon portrait qui s’efface
Impossible de baisser les yeux
Même crevés je vois sans eux
Oh putain je vois sans eux
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4. |
Ombres Fanées
04:33
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Perdue entre les feuilles tourbillonnant autour de moi
Je repense à ce qui me maintient encore près de toi
Ecorché par une caresse qui ne nous ressemble plus
Je laisse mon âme au diable, je sais qu’il m’a vue
Crois tu que ce qu’il reste justifie mon acharnement
Ton image n’est qu’une trainée balayée par le vent
A trop cracher ma haine, à pleurer sans peine
A te regarder sans te voir, à user tous ces trottoirs
Je laisse nos ombres à bouffer au néant
Qu’il savoure ce mal indécent
Je m’en vais là ou ta poussière ne me suit plus
Là où faner est un bien devenu corrompu
Rester à se battre pour des mensonges
Pour un bout de vérité, qui nous ronge
Les feuilles ensanglantées tombent et craquent à mes côtés
Seuls restent les remords
Crevez-moi, oui encore, il n’y a rien
Ni dedans, ni dehors
Ca arrive tout le temps, ça arrive tous les jours
D’avoir fait le tour
De ces goûts amers devenus si fades
De ces ombres fanées qui me regardent
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5. |
Détruire l'Evidence
04:56
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Prends ce qu’il reste à prendre je resterai à terre
Là où mon corps s’étend entre l’ombre et la lumière
Un dernier souffle étouffé par le silence j’attends
Que vienne l’heure de ce dernier instant
Je t’ai vu partir là où le doute n’existe pas
Là où le vent murmure tout ce qu’on ne se dit pas
Seule contre toi la poussière recouvre
Ma vie de tous les mensonges qu’elle trouve
Ouvre mes paupières et regarde enfin
Trouve l’issue vers la
FIN
Tes soupirs me portent vers les fantômes de l’oubli
Oh dis le, oui dis-moi, que tout s’achève ici bas
Dans le silence j’attends
Que vienne l’heure de ce dernier instant
Je t’ai vu partir là où le doute n’existe pas
Là où le vent murmure tout ce qu’on ne se dit pas
Seule contre toi la poussière recouvre
Ma vie de tous les mensonges qu’elle trouve
Ouvre mes paupières et regarde enfin
Trouve en toi un semblant de chagrin
Océan misérable tu me frappes enfin
M’arrachant le cœur, nos souvenirs, tes erreurs, précipitent à nouveau ma fin
Océan misérable
M’arrachant le cœur, précipitant ma fin
Où étais-tu, quand mon visage heurta le sol
Hurlant en vain que le tien ne s’envole
Hurlant en vain que le tien ne s’envole
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